gaz

La semaine dernière, une poignée d’investisseurs, parmi nos plus fidèles lecteurs, a rejoint nos équipes en Normandie pour un séminaire ultraconfidentiel dédié à l’investissement en temps de crise. A cette occasion, nos experts ont fait le point sur la situation actuelle et dévoilé ensuite, tour à tour, les meilleurs plans d’actions pour absorber le choc tout en en profitant…

Le géant russe est loin d’être l’entreprise la plus en difficulté suite à la guerre en Ukraine. Si ses revenus pour 2021 avaient déjà explosé à la hausse, ceux pour 2022 s’annoncent encore meilleurs… Alors même que les discussions se multiplient pour savoir quand l’Europe finira par se couper de son approvisionnement en gaz et pétrole russe. C’était sans compter sur la réalité, qui est bien vite venue s’opposer à certains projets très théoriques…

« Alors que le froid sévit dans la plus grande partie des Etats-Unis, le prix du gaz naturel est en train de chauffer », écrivais-je à mes lecteurs début décembre. Depuis, le prix du gaz naturel est devenu brûlant.

La France n’en finit plus de copier l’Allemagne. L’Hexagone devrait tout comme son voisin d’outre-Rhin revenir cette année sur les subventions qu’elle accorde à l’industrie éolienne.

Fin juillet dernier, l’EIA, l’agence de l’énergie américaine, a relevé de 9,8% les réserves de gaz américaines, les portant à 348,8 mille milliards de mètres cubes (trillion cubic feet, ou tcf). Elles ont été gonflées en particulier par le shale gas, comptant pour 131,6 tcf. Aujourd’hui, le gaz de schiste représente plus de 30% du total des réserves américaines, contre 0 au début des années 2000.

Selon les estimations de l’EIA (Energy Information Administration), l’Agence de l’énergie américaine, les réserves recouvrables mondiales de gaz de schiste sont de 7 795 TCF . L’étude présentée cette année a été menée pour la première fois dans 41 pays. Au cœur de la révolution des gaz de schiste, les Etats-Unis posséderaient 15% du total, soit une réserve de 1 161 TCF.

« Nous allons repartir d’une page blanche ».
Voici la promesse faite par le Premier ministre japonais Noda fin 2011, alors que l’Archipel se remettait tout juste de la catastrophe nucléaire qui l’avait frappé quelque mois plus tôt.

Aujourd’hui, c’est la demande asiatique qui tire le marché du gaz. Selon GDF Suez, la consommation de gaz devrait y augmenter de 3,5% par an et ce jusqu’en 2035. Car en Asie, il y a deux dévoreurs de gaz…

Le marché du gaz n’est pas homogène en France. Faiblement producteur, le pays compte presqu’exclusivement sur le gaz naturel importé pour sa consommation. Deux transports sont alors utilisés…

Pendant les fêtes de Noël, j’ai discuté avec un journaliste qui travaille pour un journal très connu à New York. Il voulait savoir sur quoi j’écris. Je lui ai répondu que mes lecteurs et moi suivions les grandes tendances et recherchions des idées d’investissements dans le domaine de l’énergie et des ressources.